SOFTSWISS : Jackpot Aggregator intègre une nouvelle mise à jour

Le fournisseur de solution iGaming SOFTSWISS intègre dans Jackpot Aggregator de nouveaux moyens de paiements en devise. Les exploitants de casino en lignes partenaires attendent les retours sur investissement de cette nouvelle fonctionnalité.

Jackpot Aggregator : une demande de la clientèle

Le Jackpot Aggregator de SOFTSWISS rassemble en un seul endroit toutes les offres à cagnotte de ses opérateurs. Grâce à cette solution ingénieuse, la gestion de récompenses est davantage facilitée. De plus, le système ne se sature pas même avec de nombreuses promotions concomitantes.

Aux multiples casquettes, SOFTSWISS est une entreprise visionnaire tournée vers sa clientèle. En plus de proposer un agrégateur de Jackpot, cette compagnie crée des sites de jeux de A à Z. Elle prend en charge les demandes de licences par les exploitants de casino.

Par ailleurs, la marque puise ses solutions iGaming dans ses acquis et les retours d’expérience de professionnels. Ses pages web intègrent des options qui permettent aux visiteurs et prospects potentiels de la contacter. « … nous avons écouté attentivement les commentaires de nos clients actuels afin d’évoluer en fonction des besoins de nos partenaires. La prise en charge des campagnes de jackpot multidevises est l’un des points évoqués », indique Aliaksei Douhin, chef de produit de l’agrégateur de jackpots de SOFTSWISS.

Auparavant, Jackpot Aggregator ne proposait que les offres avec paiement en Euro. Ainsi, avec l’intégration de nouvelles monnaies, le nombre de paris et de jackpots remportés devrait augmenter significativement. Aliaksei Douhin affirme que l’addition de devises supplémentaire est « … très important pour les opérateurs lorsqu’ils traitent avec ses clients… » Il permet d’accroître l’effectif total « de joueurs impliqués » et élargir l’étendue de chaque jackpot, tout en renforçant la fidélité et la confiance des utilisateurs finaux dans les tirages. « Je suis sûr que nos clients apprécieront la nouvelle fonctionnalité de l’agrégateur de jackpots, et nous les garderons heureux avec de nouvelles fonctionnalités à venir », ajoute-t-il.

Une offre sur mesure

Jackpot Aggregator est une offre tout-en-un. Les experts de SOFTSWISS s’occupent de l’intégration de fonctionnalités commandées par son client sur le casino en ligne, les jeux concernés ou toute autre plateforme associée. De plus, la technologie ingénieuse utilisée par SOFTSWISS permet aux opérateurs de proposer leurs propres jackpot en simultanée avec ceux des éditeurs. Le système est personnalisable et peut être adapté aux exigences des casinotiers. Ces derniers peuvent s’inspirer des Templates de Jackpots pour faciliter leur choix. En quelques coups d’œil, ces derniers arrivent à trier les visuels et des fonctionnalités qui leur conviennent. D’autre part, ils peuvent également changer de nombreux paramètres via un menu contextuel. Avec Jackpot Aggregator, les casinos en ligne peuvent contrôler plusieurs variables : règles d’activation des offres, montant de la cagnotte, conditions de mises, etc.

Sur Jackpot Aggregator, les informations liées aux diverses promotions sont facilement exploitables. En outre, SOFTSWISS fournit à sa clientèle des statistiques fiables et un suivi en temps réel du déroulement de chaque évènement. La confidentialité des transferts de données est préservée pendant chaque opération. SOFTSWISS crypte et sécurise tout ce qui transite du casino virtuel vers Jackpot Aggregator.

Rachat de Tombola : les partenaires néerlandais paient pour prouver leur bonne foi

Basé au Royaume-Uni, Tombola va bientôt appartenir au géant de l’industrie du jeu Flutter. L’opérateur de bingo impose une évaluation de conformité à ses associés néerlandais avant la finalisation du contrat. Étonnement, les sociétés doivent débourser de leur poche le coût de la démarche.

Une décision inopinée

Tombola possède la meilleure plateforme de jeux de loterie en ligne sur les terres du Royaume-Uni. À présent, le groupe est en étroite collaboration avec des opérateurs originaires des Pays-Bas. Dernièrement, la grosse pointure britannique a envisagé de soumettre ces associés particuliers à une procédure pour confirmer leur légitimité. De cette façon, la firme fait en sorte que les éventuelles infractions perpétrées par ses bras droits n’entachent pas sa réputation.
A priori, il n’y a rien de surprenant étant donné l’imminence de sa fusion avec Flutter Entertainment. Cependant, Tombola a ordonné à ces exploitants néerlandais de régler eux-mêmes les frais de l’opération, et l’affaire a aussitôt pris de l’ampleur. Désormais, les affiliés de la marque sont tenus de débourser la somme de 1 125 € pour chaque site web. Une grande première dans l’histoire de l’iGaming des Pays-Bas ! De plus, ils doivent exclusivement recourir aux services de XY Legal Solutions BV, selon encore les directives de Tombola.

En vue de la signature définitive de l’accord avec Flutter, la compagnie oblige tous ses adhérents à respecter ces dispositions. En novembre, Flutter s’est effectivement porté acquéreur des activités de Tombola pour près de 480 millions d’euros. Au bout du compte, le rachat sera complété aux alentours de 2022.

La signature de Tombola

Pour rappel, Tombola exige initialement que ses futurs collaborateurs contactent XY Legal pour un bilan de conformité. Après l’examen de certains aspects de leur plateforme en ligne, le cabinet accorde son approbation avec le sceau « KVA ». Ce dernier est une sorte de passeport permettant aux intéressés d’entrer dans le cercle fermé de Tombola. Néanmoins, cette autorisation exceptionnelle n’est valable que durant 12 mois. Passé ce délai, Tombola invite ses partenaires à solliciter les faveurs de XY Legal encore une fois. Pour 725 €, chaque site web aura de nouveau le privilège de siéger parmi les affiliés du leader britannique. Marc Smit, le représentant de Tombola aux Pays-Bas, ne jure que par ce système pour une coopération sécurisée.

Pourtant, ce sceau d’approbation ne répond à aucune règlementation établie au niveau de la Kansspelautoriteit (KSA), le comité de régulation néerlandais. Ainsi, la KSA ne reconnait pas le label que XY Legal délivre et n’envisage aucunement de le valider ultérieurement. Cela dit, l’idée de vérifier périodiquement la régularité des actionnaires est bonne selon les spécialistes en jeux d’argent. Entre autres, c’est un moyen efficace pour effectuer les transactions en toute confiance. Toutefois, certains sont persuadés que ce principe reste peu viable en raison des dépenses trop élevées. L’expert Jan Westerhoff a indiqué que les investisseurs potentiels risquent de perdre leur intérêt en constatant le prix à payer. D’ailleurs, Tombola est l’unique titulaire d’une licence néerlandaise avec autant d’exigence. Bet365 et Betcity, d’autres opérateurs néerlandais, mènent quant à eux leurs propres inspections sans facturer leurs congénères.

Finlande : le monopole de Veikkaus est-il arrivé à son terme ?

Depuis septembre, le parlement étudie un projet de loi sur le blocage des transactions de tous les concurrents de Veikkaus. La commission constitutionnelle finlandaise a estimé qu’il n’y avait aucun motif valable pour privilégier cette société d’État. Cela remis en question le monopole de Veikkaus.

Veikkaus devra convaincre les législateurs pour pouvoir garder son monopole

Rien ne justifie l’exclusivité de Veikkaus

En Finlande, le comité gouvernemental a récemment jugé inapproprié de maintenir le monopole de Veikkaus. Cette structure a procédé à cette déclaration à la suite du projet de loi sur les loteries déposées en septembre. Concrètement, ces textes contiennent des passages permettant de bloquer les virements des casinos en ligne visant le marché finlandais, hormis Veikkaus. En effet, cette compagnie publique est la seule à fournir légalement des jeux de hasard au pays. Mais cela n’a jamais empêché les opérateurs étrangers de diffuser des publicités sur ce marché et de séduire des joueurs locaux. De ce fait, les joueurs finlandais effectuent des transferts par l’intermédiaire des services de paiement comme les établissements bancaires.

Si les législateurs de Finlande adoptent ce projet de loi, les banques ne seront plus en mesure de traiter les demandes des joueurs à compter du 1er janvier 2023. Ainsi, ces amateurs de jeux de casino ne peuvent plus financer leurs parties de jeu à distance et encore moins retirer leurs gains. Néanmoins, la commission gouvernementale s’est prononcée contre cette législation. Celle-ci enfreint l’article 15 sur la protection des propriétés et l’article 18 sur la liberté de mener une activité lucrative. Par conséquent, cette initiative ne justifie aucunement le fait de prévenir les cas problématiques liés aux jeux d’argent. C’est tout bonnement une atteinte aux droits fondamentaux résultant d’une restriction abusive. Cela dit, le Conseil a suggéré au gouvernement d’établir des mesures moins radicales adaptées aux principaux objectifs de ce texte de loi.

Les dispositions éventuelles

À part la clause sur le blocage des paiements, l’actuel projet de loi sur les loteries de Finlande indique d’autres amendements. Brièvement, les grandes lignes du dossier concernent l’identification obligatoire sur toutes formes de jeux d’argent et les pénalités. En principe, l’outil de vérification d’identité systématique est prévu au plus tard en 2024. Pour rappel, les machines à sous de Veikkaus sont d’ores et déjà dotées de cette option depuis cette année. En outre, la stratégie marketing des opérateurs de jeux de casino doit présenter les jeux d’argent comme un passe-temps. Ces derniers ne doivent pas les promouvoir explicitement. Normalement, cette démarche devrait être mise en vigueur au cours de l’année 2022.

D’autre part, les sanctions financières sont également à réévaluer selon les directives de la commission gouvernementale. Manifestement, le système de calcul et les motifs d’application des amendes restent à préciser. Les opérateurs de jeux de hasard sont aussi tenus de publier des communiqués réguliers sur la limite d’âge autorisée. Il en est de même pour les demandes d’auto-exclusion et le traitement des joueurs excessifs. Naturellement, le but de cette réforme de la loi sur les loteries consiste à améliorer les règlementations de ce secteur. D’ailleurs, le Ministère de l’Intérieur finlandais a résumé la perspective en quelques mots : « réduire les inconvénients des jeux d’argent ».

L’AGA réclame des mesures contre les appareils de Skill Gaming illégaux

Les Skill Gaming illégaux envahissent les Etats-Unis

Actuellement, les machines de jeu d’adresse pullulent sur le territoire américain. Les fabricants de ces Skill Gaming illégaux réussissent à contourner les lois locales sur les jeux d’argent. L’American Gaming Association ou AGA souhaite que le gouvernement réagisse.

Les exploitants de casinos sont sur des charbons ardents

L’AGA invite les autorités fédérales à mener des investigations sérieuses sur les machines à sous portant la qualification « Skill Gaming ». Il semblerait que certaines sociétés se spécialisent dans la fabrication de ces appareils destinés à échapper aux règlementations sur les jeux d’argent. Curieusement, leurs opus ressemblent parfaitement aux postes disponibles dans les casinos terrestres. A un détail près : les entrepreneurs ont modifié le principe de jeux de hasard en jeu d’adresse. Pour ce faire, les joueurs doivent identifier eux-mêmes les combinaisons gagnantes sur l’écran. De cette manière, ces opérateurs de jeux évitent les lois régulant le marché des jeux d’argent. D’autre part, ils amassent des bénéfices considérables sans verser d’impôts.

En seulement quelques années, ces machines à sous non régulées ont proliféré aux États-Unis. Les établissements de restauration et les bars investissent de plus en plus dans ce business florissant. Étant donné que l’illégalité de ces appareils de jeu d’adresse n’a pas été officiellement prononcée, les petites entreprises en profitent. Les autorités compétentes demeurent impuissantes face à cette réalité qui menace l’avenir des véritables casinos américains. C’est pourquoi l’industrie du jeu local se mobilise à travers l’AGA pour contester la présence de ces terminaux de jeu. Jessica Feil, vice-président de cette association déplore cette situation : « l’AGA et ses membres prient le département de la justice d’enquêter et de poursuivre les producteurs de machines à sous illégales ».

Une progression incontrôlable

Cette bataille entre les acteurs de l’industrie du jeu et les firmes à l’origine des Skill Gaming illégaux s’annonce épique. En effet, le sujet a déjà suscité la controverse dans plusieurs États américains. En Pennsylvanie, les représentants de la justice ont statué que le comité de régulation local ne pouvait pas sanctionner ces promoteurs en vertu de la loi sur les jeux d’argent du Commonwealth. Ainsi, les fabricants de machines et leurs clients demeurent à l’abri de tout soupçon. De son côté, la police de Pennsylvanie a sollicité plusieurs fois l’autorisation de saisir ces appareils, mais sans succès. Malgré la déception des propriétaires de casinos sur les lieux, la loi stipule clairement qu’il n’y a pas de clauses visant les jeux non règlementés impliquant les jeux d’adresse.

À la différence des machines à sous ordinaires, ces dispositifs ne sont pas dotés d’un taux de redistribution au joueur fixé par les autorités de règlementation. De plus, aucun pourcentage sur les revenus bruts n’est destiné au prélèvement fiscal. Lors de la pandémie de Covid-19, la Virginie a légalisé temporairement ce type de jeu afin de limiter les pertes des microentreprises. Par conséquent, beaucoup d’établissements ont pu sortir la tête hors de l’eau en dépit de la crise économique. Cependant, cette permission spéciale a expiré en juillet dernier. Pourtant, les machines de jeu d’adresse persistent au sein de l’État de Virginie.

IGT présente son jackpot omnicanal lors du SBC Summit North America

L’éditeur de talent IGT a participé au SBC Summit North America du 30 novembre au 2 décembre. Au beau milieu de cette exposition, le fournisseur de jeu iGaming a dévoilé son tout premier jackpot progressif et omnicanal pour la série Wheel of Fortune.

Le jackpot de Wheel of Fortune est désormais accessible sur les slots physiques et en ligne

Le jackpot omnicanal pour les joueurs du New Jersey uniquement

Au Meadowlands Exposition Center à New Jersey, les amateurs de jeux d’argent américains ont eu la chance de découvrir la nouvelle conception de IGT sur le stand n° 501. À présent, le jackpot progressif de sa gamme Wheel of Fortune est relié aux opus terrestres, aux machines à sous sur mobile et en ligne. Effectivement, ce système est le précurseur des jeux omnicanaux partageant une cagnotte progressive Wheel of Fortune aux États-Unis. Pour l’instant, ce dispositif novateur n’est accessible qu’au New Jersey. Permettant ainsi aux joueurs locaux de savourer leurs parties selon le canal de leur choix et de remporter un énorme jackpot.

Le PDG d’IGT, Enrico Drago, s’est exprimé : « IGT repousse une fois encore les limites des jeux numériques avec le lancement du procédé omnicanal interconnecté Wheel of Fortune. Nous combinons une technologie reconnue avec la marque de machine à sous la plus célèbre de tous les temps dans le but de générer un jackpot phénoménal », a-t-il précisé. Dorénavant, l’entreprise compte sur ce produit pour attirer de nouveaux joueurs américains qui veulent changer radicalement leur vie. En réalité, l’équipe d’IGT a décidé de créer cet outil après la réussite de Powerbucks au Canada. En 2016, le groupe a lancé ce mécanisme de jackpot progressif omnicanal pour certaines machines à sous. Rapidement, cette invention est devenue populaire à l’échelle mondiale, mais surtout au Canada.

SBC Summit North America: un évènement incontournable

Hormis la remarquable exposition concernant son slot omnicanal en Amérique, IGT a également mis en avant ses meilleures offres. En particulier, la société a exhibé « Fortune Coin Boost! », la suite de sa création la plus performante durant l’année 2020, à savoir la Fortune Coin. La branche IGT PlaySports a quant à elle révélé ses 2 nouveaux bureaux : CrystalFlex et PeakBarTop Flex. Elle a également dévoilé son logiciel de jeux multiples. De cette façon, les joueurs ont la possibilité de visionner leurs sports favoris tout en pariant. Ils peuvent aussi basculer vers les machines à sous, le vidéo poker ou d’autres divertissements, et ce, à travers une seule solution de jeux.

Pendant le SBC Summit North America, IGT a renforcé sa position de leader sur le marché américain de l’iGaming et des paris sportifs. L’éditeur a présenté de nombreuses démonstrations. D’ailleurs, il n’a pas eu à pâlir devant les propositions de ses principaux compétiteurs. Naturellement, cette prestigieuse conférence réunit les plus grandes enseignes de jeux de casino en ligne et de paris sportifs. Au cours de l’édition 2021, les participants ont échangé leurs expertises sur le secteur des jeux d’argent aux États-Unis et au Canada. En outre, ils ont aussi montré un aperçu des futures évolutions technologiques dans le domaine. Au total, 200 personnalités influentes sont intervenues lors du SBC Summit North America. Elles sont à la tête de Caesars Entertainment, Penn Interactive, 888, Mohegan Gaming & Entertainment, Las Vegas Sands Corp, etc.

Meta title: IGT : son Wheel of Fortune progressif et omnicanal pour les Américains s’est distingué
Meta description : IGT a déployé son invention avec succès au SBC Summit North America. Désormais, Wheel of Fortune est simultanément accessible sur plusieurs canaux avec jackpot progressif.

Le régulateur néerlandais sanctionne un autre opérateur de jeux sur Facebook

Comme au loto, les boules sont tirés au sort au bingo

Le Kansspelautoriteit ou KSA a récemment détecté des mouvements de jeux de bingo illégal sur Facebook. En effet, un groupe procède à des loteries irrégulières sur Facebook aux Pays-Bas. L’autorité de règlementation du jeu a aussitôt averti les responsables concernés.

Un cercle de jeu de bingo illégal sur Facebook

Le groupe Facebook Dordtse Queens a proposé des services de bingo aux joueurs néerlandais sans autorisation. À l’évidence, ce fournisseur de jeux de hasard a régulièrement diffusé des publicités concernant la loterie à travers ce réseau. Au total, 8 administrateurs ont animé cette communauté virtuelle tout en publiant des promotions sur leurs comptes personnels. Par conséquent, la KSA a alerté Facebook de la présence de cet opérateur clandestin sur son système. Presque instantanément, ce mastodonte des réseaux sociaux a retiré 6 pages rattachées à Dordtse Queens. Jusqu’à ce que ses accès soient bloqués, le groupe a séduit près de 10 000 membres, mineurs inclus.

En septembre, la commission des jeux au pays a également pris des mesures similaires à l’encontre de Luxury Bingo et BSB Shop. Tout comme Dordtse Queens, ces derniers ont procuré des jeux de loterie sur Facebook. Ainsi, ces opérateurs non licenciés étaient contraints de cesser leurs activités en ligne sous peine d’amendes. Auparavant, la KSA a informé Luxury Bingo qu’il violait la loi nationale sur les jeux d’argent. Certes, le prestataire de services a suspendu ses offres dans un premier temps, mais il a repris ses mauvaises habitudes plus tard. De son côté, BSB Shop a, quant à lui, basculé vers Discord lorsque la KSA lui a ordonné de quitter Facebook. À chaque fois que Luxury Bingo et BSB Shop transgressent les règles, ils écopent respectivement d’une pénalité de 3 000 € et de 7 000 € au minimum.

Pays-Bas : le marché de l’iGaming évolue

La KSA délivre des licences de jeux, pendant qu’elle continue de pourchasser les opérateurs en ligne non agréés. Cette autorité de régulation néerlandaise a bel et bien accordé plus de 10 permis d’exploitation aux entreprises intéressées. À présent, les premiers fournisseurs de jeux à distance dans le secteur sont Bet365, Tombola, Holland Casino, Play North Ltd, Janshen Hahnraths, Bingoal, Betent, JOI Gaming, NSUS Malta, etc. Précédemment, l’ouverture du marché du jeu aux Pays-Bas était prévue pour le 1er octobre. Cependant, le lancement a été reporté au 4 octobre à cause du dysfonctionnement du mécanisme d’auto-exclusion Cruks.

En pratique, ce dispositif permet aux joueurs néerlandais de se retirer définitivement des plateformes de jeux d’argent. D’ailleurs, le Cruks reste un atout majeur en vue de la soumission du projet de règlementation des Pays-Bas à la Commission européenne. D’autre part, le gouvernement local affirme d’emblée que ses critères sont conformes aux lois européennes sur l’iGaming. D’autant plus qu’il a établi les procédures nécessaires afin de prévenir les cas problématiques. En même temps, la KSA prévoit de renforcer les règles régissant la loterie domestique. Elle envisage de verser au moins 40 % des bénéfices de ce jeu de casino en particulier pour des causes d’intérêt public.

Le slot Age of the Gods délivre 5 cagnottes en 5 jours

Les divinités grecques à l'honneur sur Age of the Gods de Playtech

Après son rachat par Aristocrat, l’éditeur Playtech ne cesse de faire parler de lui sur internet. 5 joueurs différents remportent 5 Super Power Jackpot successifs sur sa machine à sous Age of the Gods. Il a suffi à ces heureux personnages de parier pour activer le Jackpot et recevoir chacun des montants considérables.

Des mini-jeux Jackpots

Depuis son introduction sur les machines à sous Playtech en 2017, le Super Power Jackpot a permis de remplir les poches de nombreux joueurs. Cette offre est disponible sur 6 slots vidéo : Age of the Gods, Fate Sisters, Prince of Olympus, Furious 4, Goddess of Wisdom, King of Olympus. Sur ces opus, le montant du Jackpot s’ajoute aux gains octroyés par les combinaisons payantes, Free Spins, Wild, multiplicateurs et d’autres fonctions bonus. Les enjeux sont énormes et l’excitation est à son paroxysme.

L’activation du Super Power Jackpot est complètement aléatoire. Cet évènement peut survenir à n’importe quel moment de la partie et se décline sous forme de mini jeux, limité dans le temps par un compte à rebours. Une grille 4×5 présente 20 symboles face cachée. Le joueur doit trouver 3 icônes identiques dans ce lot pour remporter le Jackpot. Les machines à sous Age of the Gods bénéficient de nombreuses offres de cagnottes. À côté des Super Power Jackpot s’affiche l’Extra Power Jackpot et l’ultra Power Jackpot proposant aux joueurs des gains plus importants. Les prix associés à ces jeux Jackpot sont réinitialisés à chaque fois qu’un joueur collecte 5000 € sur les machines à sous concernées.

Plus de 90 000 € distribués sur Age of the Gods

Tous les slots vidéo de la saga Age of the Gods intègre des bonus Jackpot en mode progressif. Ainsi, une partie des paris des joueurs est mise de côté par l’éditeur pour former une cagnotte. Ces opus développés sur le thème des dieux grecs suscite l’engouement des joueurs. De plus, le montant du Jackpot peut atteindre plusieurs milliers d’euros.

Les récentes récompenses octroyées par Playtech ont étonné les amateurs de vidéo slots du monde entier. En plus d’être conséquents, les gains sont très fréquents. 5 joueurs se sont partagé plus 90 000 € en 5 jours, en faisant tourner les rouleaux de Age of the Gods. Le premier a collecté 10 000 €, 48 h après le second a empoché 30 378 €. 2 jours sont passés, le troisième et le quatrième joueur ont perçu chacun 10 000 €. Le lendemain, une autre personne décroche une nouvelle cagnotte de 30 000 €.

Les observateurs du net sont sous le choc. En règle générale, les gros gains remportés sur les machines à sous sont espacés au minimum de 1 mois. Les forums de joueurs décrivent cet évènement comme inédit dans le monde de l’iGaming. Playtech a changé la donne avec son opus à dieux grecs. Le software a la côte. De nombreux joueurs vont surement se ruer pour tenter leurs chances sur ses différents titres.

Le danger des annonces Facebook pour les mineurs

Facebook séduit un large public

Des acteurs tirent la sonnette d’alarme sur les annonces Facebook. Dans un rapport officiel, l’ONG Reset Australia affirme que des enfants sont toujours exposés aux publicités sur les jeux d’argent et l’alcool sur ce réseau.

Une situation critique

Reset Australia est une ONG qui œuvre pour la mise en place d’un monde numérique sûr dans le pays des kangourous. Cette association mène une lutte sans merci pour la protection de la vie privée des internautes et des enfants. Les médias sociaux comme Facebook sont dans sa ligne de mire. Cet organisme critique fortement les publicités de Facebook. Il affirme que les annonces Facebook sont contraires à l’éthique et à la démocratie. Elles ne font l’objet d’aucun filtre et mettent en danger les jeunes. Une enquête récente de la firme YouGov sur ce réseau social présente des chiffres alarmants. 82 % des adolescents de l’Australie sont des victimes de pubs non désirées et potentiellement dangereuses.

Face à cette situation, le gouvernement d’Australie a élaboré un amendement à la législation sur la protection de la vie privée des Australiens sur le Net. Ainsi, le code octroie davantage de protection aux enfants. Reset Australia salue cette initiative de l’État. Néanmoins, elle conseille le gouvernement de ne pas se reposer sur la contribution des réseaux sociaux pour la partie technique.

« Il y a un long chemin à parcourir entre ce projet de loi novateur et le code qu’il prépare. Compte tenu de ce que nous savons des entreprises de médias sociaux. La perspective qu’elles puissent être impliquées dans la première rédaction de ce code est inquiétante. Comme Frances Haugen l’a souligné pas plus tard que la semaine dernière, elles font passer des profits astronomiques avant les gens. Elles sont tout à fait prêtes à déployer des produits nocifs pour les enfants », déclare Dr Rys Farthing, directeur de la politique des données de Reset Australia.

Une IA au service du profit

Les annonces payantes sont les principales sources de revenus de Facebook. Cette entreprise du groupe Meta ne peut pas vivre sans les publicités. Elle tient à afficher une bonne image à sa clientèle. La firme enchaine les interventions pour améliorer son offre et ses politiques de protection des données.

Facebook déclare mettre en place des correctifs importants pour protéger les personnes vulnérables des publicités dangereuses. Dorénavant, les propriétaires d’annonces publicitaires ne peuvent plus spécifier l’âge de ses cibles dans Facebook Ads. C’est une Intelligence artificielle (IA) surpuissante qui va s’occuper de l’optimisation des publicités. Elle ciblera les personnes à la place des annonceurs. Grâce aux données personnelles des utilisateurs, elle va déterminer le moment idéal pour diffuser l’annonce. Le docteur Rys Farthing précise que cette technologie œuvre pour le profit de Facebook et non pour la protection des consommateurs. « Étant donné la puissance de leur IA, cela peut en fait être pire pour les enfants », déclare-t-il dans son communiqué.

L’IA du réseau social ne filtre pas les cibles des publicités. Reset Australia affirme que des logiciels de collecte comme Facebook pixel sont toujours liés aux comptes des utilisateurs mineurs. « Il ne s’agit guère d’une approche préventive de la publicité pour les enfants. Au lieu de cela, cela signifie que les détails les plus privés et intimes des jeunes sont encore récoltés pour alimenter le système publicitaire intrusif de Facebook », indique le Dr Rys Farthing.

Pennsylvanie : les casinos vont limiter le nombre des machines à sous

Une machine à sous vidéo classique

Les établissements de jeux d’argent en Pennsylvanie prévoient de réduire l’effectif de leurs machines à sous. De cette manière, ils se débarrassent des appareils peu performants. La commission de régulation a déjà donné son consentement.

Les régulateurs de Pennsylvanie donnent le feu vert

En Pennsylvanie, le comité de réglementation des jeux de hasard a autorisé la réduction des machines à sous des casinos terrestres. Cette nouvelle intervient à la suite des démarches entreprises par le gouvernement pour éliminer les jeux illicites. En effet, le Gaming Control Board veut éradiquer les machines non soumises aux taxes de l’État. Évidemment, ces opus génèrent des bénéfices qui échappent au contrôle du gouvernement et impactent dangereusement les revenus des casinos légaux. Adrian King, le représentant de l’association Mountainview Thoroughbred Racing a expliqué les diverses raisons de cette restriction des machines à sous lors de la réunion des autorités de régulation.

Tout d’abord, King a affirmé que les joueurs ont de moins en moins envie d’un appareil physique depuis la crise sanitaire. Par conséquent, les jeux de casino en ligne ont gagné en popularité à grande vitesse. De plus, le nombre croissant des machines à sous irrégulières a largement motivé cette prise de décision. L’avocat a également levé le voile sur le principe de « jeu distribué ». En fait, ce système permet aux autres établissements, comme le bistrot, de fournir clandestinement des appareils de jeux de hasard. Pourtant, les machines à sous sont principalement autorisés dans les casinos et à certaines occasions spéciales. Et pour cause ! Les gains du marché des casinos ont chuté de 200 millions de dollars entre 2013 et 2019. Pire encore, les mineurs ont eu accès aux appareils et les cas problématiques ont augmenté.

La mobilisation des établissements locaux

À présent, 2 opérateurs de jeux d’argent sur le territoire de la Pennsylvanie procèdent à la révision de leurs produits, notamment le Hollywood Casino à Penn National Race Course (PNRC) et le Hollywood Casino de The Meadows. Cela dit, ces casinos envisagent de supprimer des appareils électroniques sans compromettre les emplois de leur personnel. En outre, ces acteurs de l’industrie du jeu programment leur stratégie de manière à ce que la recette annuelle n’en souffre pas. En l’occurrence, ils vont initialement jeter les opus les plus obsolètes à la poubelle.

Ainsi, le Hollywood Casino à PNRC va enlever 191 machines à sous de ses salles de jeux. Le Hollywood Casino de The Meadows projette également de retirer 317 appareils sur ses 2 323 postes. Le vice-président de PNRC, Mike Mueller a précisé qu’un nombre réduit de jeux électroniques est plus approprié, car de multiples machines à sous n’entrainent pas forcément de plus gros profits. D’ailleurs, sa société a connu une baisse de bénéfices de 125 millions de dollars en une décennie. De son côté, le Hollywood Casino de The Meadows n’a enregistré que 100 millions de dollars en 2020 tandis qu’il a amassé presque le triple de ce montant en 2009.

Las Vegas : 2 millionnaires en une journée

Une pluie de pièces d'or pour le jackpot

La Ville Lumière change la vie de deux Américains dans la même journée, le 14 novembre. 2 personnes qui ne se connaissent pas remportent chacun un jackpot à Las Vegas. Les deux parieurs jouent dans des casinos différents. L’un préfère préserver son anonymat, tandis que l’autre n’hésite pas à afficher sa joie.

Un gagnant sur Pai Gow

Quoclong Pham est venu de Vancouver pour passer un peu de bon temps à Las Vegas. Il a choisi le casino Harrah’s Las Vegas pour s’amuser. Quelques minutes après s’être installé à la table de Face Up Pai Gow, il devient millionnaire. Pai Gow désigne un jeu de 52 cartes et un joker. Les amateurs parient contre le croupier. Ce divertissement est assez populaire auprès des passionnés de jeux d’argent. Cependant, la mise supplémentaire de 5 $ placé par Pham a largement contribué à accroître son gain. Cela lui a permis de participer au Mega Progressive Jackpot.

Caesars Entertainment, la société mère du Harrah’s, a sorti un communiqué pour annoncer le prix de Pham. L’entreprise explique que la quinte flush à sept cartes avec joker du grand gagnant lui a permis d’empocher la somme qui s’élève à 1 393 273 $. Cette combinaison représente la meilleure main dans ce jeu. Caesars Entertainment ne précise pas la mise initiale de Pham mais la gamme va de 10 $ à 25 $ pour les tables de Pai Gow.

L’heureux gagnant déclare vivre une expérience « surréaliste », selon ses termes, grâce à cette victoire. Il affirme qu’il assimilera vraiment la réalité de sa nouvelle situation financière une fois que l’argent sera versé sur son compte. Il annonce avoir l’intention d’économiser ce jackpot obtenu à Las Vegas.

Un jackpot grâce à une machine à sous

Une autre joueuse rentre chez elle avec plus de 1 million de dollars de Las Vegas. Nikki n’a pas dévoilé son nom de famille. Toutefois, elle montre fièrement son gain de 1 075 234 $. Elle le remporte sur la machine à sous Wheel of Fortune d’IGT. Son histoire à elle se déroule au Circa Resort & Casino. Derek Stevens, le propriétaire de l’établissement de jeux d’argent a tenu à féliciter Nikki personnellement. Le slot Wheel of Fortune est doté du système de jackpot progressif, ce qui lui permet d’offrir des prix aussi exceptionnels. Sur cette machine à sous donc, une partie de la mise de chaque joueur accroît le montant du jackpot.

La somme remportée ne sera pas versée par Circa Resort & Casino, mais par IGT. Ce fournisseur de machines à sous se targue d’avoir distribué plus de 1 milliard de dollars depuis son implantation à Las Vegas. Le jackpot le plus onéreux s’élevait à 39 millions de dollars et a été empoché en 2003.

Ces 2 évènements font partie d’une série de victoire. En effet, plusieurs autres visiteurs ont gagné beaucoup d’argent à Las Vegas dans le cours de la même semaine. Certains observateurs attribuent cette abondance à une période favorable et à la chance. D’autres y imputent une hausse significative du nombre de joueurs. Cette hypothèse se tient par rapport aux machines à sous à jackpots progressifs.

1 4 5 6 7 8 16