John Hunter and the Mayan Gods

Nouvelle aventure dans John Hunter and the Mayan Gods

Le plus célèbre archéologue de Pragmatic repart à l’aventure dans John Hunter and the Mayan Gods. Cette fois-ci, il part en Amérique centrale, sur les terres des Mayas, où des trésors insoupçonnés l’attendent. Son terrain de jeu : une machine à sous à 5 rouleaux, 3 rangées et 10 lignes de paiement. Paradoxalement, cette configuration classique présage des sessions de jeu mouvementées, grâce à une volatilité élevée. Le RTP, lui, est à 96,46 % pour une mise minimale fixée à 0,10€.

Au pays maya

Contrairement aux autres opus de sa série, John Hunter and the Mayan Gods a gardé un petit côté mystique. Une atmosphère encouragée par un thème que Pragmatic a su développer avec brio. En effet, l’éditeur a parfaitement su jouer sur les détails. Le design, la texture et les motifs, notamment, ajoutent beaucoup de réalisme. Et ce, grâce à des graphismes impeccables.

Mais ce sont les animations qui achèvent de parfaire l’ambiance du jeu. Les rayons du soleil, qui illuminent des feuilles se balançant sous un léger brouillard, au milieu de ruines centenaires… difficile de faire plus « civilisation morte ». Restent les effets sonores, qui relèvent plus de la slot rétro.

Wild et Scatter revisités

Les fans inconditionnels de Pragmatic savent que le studio se repose beaucoup sur le Wild et le Scatter pour concevoir les mécanismes bonus. John Hunter and the Mayan Gods ne fait exception, sauf que ces symboles classiques sont dotés de fonctions nouvelles.

D’un côté, le Wild reste fidèle à lui-même. Il est capable de prendre la place de n’importe quel symbole si cela permet de former l’une des 10 lignes payantes. Mais ce n’est pas son plus grand pouvoir. En effet, il est extensible. Chaque fois qu’il apparait, il remplit totalement le rouleau où il se trouve. Autrement dit, les chances de déboucher sur une combinaison gagnante augmentent.

D’un autre côté, le Scatter introduit les Free Spins. Il ne faut que 3 d’entre eux pour obtenir 12 tours gratuits. Si 3 autres se matérialisent au cours de la session gratuite, le jeu rempile pour un deuxième cycle de 12 spins, et ainsi de suite.

De plus, l’apparition de Wild provoque aussi l’interversion des symboles : chacun grimpe d’une position. Le dernier, en termes de valeur, se transforme pour devenir l’avant-dernier, par exemple. Par la même, les gains sont donc meilleurs qu’ils n’auraient dû. Cerise sur le gâteau : le compteur à Free Spins augmente d’un point.

La session gratuite se poursuit jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de Free Spins.

Notre avis : John Hunter and the Mayan Gods aborde un thème cent fois vu et revu dans l’industrie de l’iGaming. Toutefois, on y prend beaucoup de plaisirs à jouer, grâce à une exécution réussie et à des fonctions bonus intéressantes.